Dans la pièce, Jeremy interprète le célèbre séducteur aux côtés de Geoffrey Bayldon (Don Antonio Capitani) et Jacqueline Pearce (Eva Franzia), la jeune fille qu’il espére conquérir grâce à ses "pouvoirs".
Le critique du Times de Londres, Henry Raynor, écrivit à l'époque:
"L'usage habile des beaux discours par Casanova afin d'ajouter charme et intérêt à ce qui autrement aurait pu devenir de la routine, était comiquement Rabelaisien, mis à part la difficile séduction d'une jeune fille de 16 ans. Jeremy Brett, l'acteur romantique favori de la télévision, fut pressenti et il accepta cette large opportunité de briller avec esprit grâce au Casanova de la seconde pièce."
"Dans The Magicians, M. Taylor a écrit sur le pouvoir, un thème plus que jamais pertinent et d'actualité, même lorsque les personnages sont habillés à la mode du seizième siècle. Dr. Dee, recherchant le pouvoir dans la magie, se soumet à la domination du medium Kelly et devient l'outil de son propre instrument. Le sort du charlatan, qui désire seulement manipuler les autres, est plus facile, car le malheureux savant dont le but est de rationaliser ses intuitions et d'expliquer ses convictions d'une manière compréhensible, arrive en fin de compte à être dépendant d'un habile fantaisiste. La triste ironie mais pourtant morale, c'est que seul Casanova, l'imposteur lucide, obtint tout de la poursuite du pouvoir, car, pour l'homme bien, le pouvoir est une proie très dangereuse."